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Un mariage au collège


Le rêve commence au beau milieu de la cour de récréation de mon ancien collège. Des amis de cette époque sont tous bien habillés et portent diverses choses dans leur mains dont des chaises blanches qu’il place face à un petit espace bordé de fleurs de toutes les couleurs. Peut-être prépare-t-il une pièce de théâtre comme il était d’habitude de le faire une fois par an au mois de juin. Je commence à me dirigé vers l’un des trois bâtiments de l’école et monte au premier étage de celui-ci dans les couloirs où j’avais habituellement musique et espagnol. Dans l’escaliers, je croise deux professeurs de mathématiques qui me félicitent. Je ne comprends pas pourquoi mais les en remercie et arrive face à une salle d’histoire à côté de la plateforme qui traverse la cour extérieur. Je pars vers cette plateforme mais quelqu’un me retient d’y aller en m’appelant d’une autre salle dans laquelle je ne suis jamais allée. C’est une fille blonde, peut-être une ancienne camarade de classe dont j’aurais oublié le prénom. Nous arrivons dans une salle où les tables et chaises ont été mis contre les murs pour avoir de la place au sol. Tout est blanc et il n’y a pas de tableau au mur, étrange pour une salle de classe. Ma mère, ma tante et ma première soeur sont dans la pièce et préparent différentes choses avec des petites perles. Ma tante s’en sert pour faire un gâteau, ma mère pour en décoré un tissus, ma soeur y plonge juste ses mains car elle adore la sensation de perle sur sa peau. Je deviens tout à coup inquiète et semble chercher quelque chose. Dès que je veux dire le nom de cette chose l’une des autres filles de la pièce m’interrompent en me demandant mon avis sur des nappes ou des fleurs. Je finis par abandonner de chercher cette chose et m’assoie par terre avec la vive impression que je vais bientôt pleurer ce qui arrive finalement. Les filles s’arrêtent et me demande pourquoi. Je commence ma phrase pour dire que : "je ne la retrouve pas" avant d’être de nouveau interrompu par la fille blonde accompagné de ma meilleure amie portant une robe de marié que je semble reconnaître comme étant la mienne.

Robe de mariée

Je pars l’enfiler dans une pièce à côté (la salle d’histoire) avec l’aide de ma meilleure amie pour le reste des accessoires de la tenue comme le tissus sur lequel ma mère travaillait qui était en fait un voile. Ma meilleure amie commence à me faire une coupe "digne de ce nom" quand ma mère et ma tante nous rejoignent. Ma tante semble heureuse mais continue de travailler à je ne sais quoi. Ma mère se place devant moi et à les larmes aux yeux. Je ne comprends toujours pas pourquoi jusqu’à ce qu’elle me dise qu’elle est heureuse que l’un de ses enfants se marie enfin. Je voudrais lui dire que ce n’est qu’une pièce de théâtre mais on m’en empêche encore en me donnant un sac. C’est un grand sac que je prenais pour les cours de sport lorsque j’étais plus jeune. Depuis il sert de fourre tout et j’en découvre le contenue à ce moment même. Il y a plusieurs livres, un vieux casque audio, des casses-têtes résolus au collège, et un tas d’autre chose. Soudain je tombe sur une photo où je suis avec quelqu’un mais le visage de cette personne a été dégradé par de l’eau. Ma mère m’interrompt en me disant que mon maris vient d’arriver et elle sort un appareil photo. C’est seulement là que je comprends que ce n’est pas une pièce de théâtre, pourquoi ma mère serait elle venue en voir une alors que ce n’était pas dans ses habitudes ? Pourquoi aurait elle prit un appareil photo alors que celui-ci ne fait pas caméscope ? Ce n’est pas une pièce mais mon mariage, et la seule chose à laquelle je pense c’est l’identité de mon maris dont je me souviens pas à ce moment là. Quelqu’un crie dans le couloir qu’il arrive et je fixe la porte pour voir de qui il s’agit mais le rêve s’achève avant que je n’ai pu le savoir.


Vous aviez classé ce rêve parmi ceux traduisant une étape de l’individuation.

Or il me semble qu’il s’agit effectivement d’une bonne vision de ce rêve, qui, selon moi, exposer une rencontre avec l’animus, l’homme sans visage, et prépare l’union sacrée avec ce masculin intérieur.

EN CONCLUSION :

Etant contre le fait de me marier un jour, j’ai pris ce mariage pour une pièce de théâtre mais ce n’en était pas du tout un.




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