Je suis accusée de quelque chose..

Je suis accusée de quelque chose que je n’ais pas fait, se sont trois filles qui m’accusent. Puis je ne sais comment on trouve la vérité et je suis innocentée. Apparemment je devais me rendre à un jugement prononcé contre les filles en ma faveur, étant mise hors de cause. Mais je ne m’y rends que bien plus tard, les accusatrices repartent donc sans être punie puisque je n’étais pas là. Un homme qui devait être avocat passe à côté de moi et me dit qu’il est étonné que je ne sois pas venue et que je suis gentille ..... !

Je me vois alors réfléchir à ce qu’il vient de me dire et je me demande pourquoi je n’y suis pas allée ?

Je me réveille, il fait encore nuit, j’ai à peine le temps de me rendormir, que j’entends ma dernière fille me dire : "c’est papa qui te donnera la réponse"

Je sursaute et je me réveille une nouvelle fois ; puis je me rendors et là dans mon rêve je me tire les cartes, sous la carte de la "consultante" c’est à dire moi, je sors une carte noire, il y a un ange dessus. Je me réveille à nouveau et cette fois-ci je me lève.

Donc vous êtes accusée, fautive donc, et c’est ça qui commence l’histoire.

En fait, votre faute n’en n’est pas une, et ce sont vos accusatrices qui mériteraient d’être punies.

Mais, par votre absence, votre absence d’accusations lors du procès, ces accusatrices restent libres. C’est leur avocat qui finalement reconnaît votre innocence, vous jugeant "gentille", rétablissant la justice attendue.

Cette logique se retrouve être exactement celle d’un évènement de votre vie actuelle. Vous avez d’ailleurs fait le lien sans moi. Et c’est peut-être ce rêve, ce retard à ce procès, cette absence, votre silence donc, qui a préparé votre action dans la réalité puisque vous écrivez à propos de cet évènement : "j’ai rien dit, j’ai laissé dire... de toute façon c’eut été peine perdue." Peine perdue, procès perdu, ou plutôt sans jugement.

Mais dans votre vie précédemment, avec le père de votre fille, il a également fallu que vous finissiez par être vue comme la personne bonne, gentille, comme un ange en exagérant. Cela semble se répéter pour vous, devoir vous défendre de n’être pas la mauvaise personne, mais la bonne. Or les cartes semblent vous dire, c’est à vous seule d’en juger, d’interpréter les cartes que vous tirez vous-même.

Ne pas s’encombrer du jugement des autres. D’un autre côté il y a cet avocat qui vous permet un regard extérieur, et comment s’en passer ?