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En prison (?) pour des chips jaunes


Encore d’autres rêves, avec une sortie de prison à la porte pas si bien fermée visiblement. En prison pour avoir mangé des chips jaunes ? Mais c’est dingue ça !

Premier rêve :
Il fait nuit. J’ai l’impression de me trouver au niveau d’une plateforme externe à une tour et accolée contre celle-ci, me trouvant en hauteur ainsi je m’imagine qu’il doit y avoir un donjon tout en bas. Albus Dumbledore est là, Rita Skeeters avec un calepin aussi.
Deuxième scène je parcours le tunnel transparant d’un toboggan. Il fait un arc de cercle se dessinant d’abord vers la verticale puis vers le sol, il n’y a pas d’eau.
Rita Skeeters est la journaliste blonde des livres de Harry Potter capable de se changer en cafard pour récolter des informations.
Il faut noter que ma copine une semaine avant empiétait un peu sur mon territoire, peut-être y a t’il figure de substitution.

"Et que dit le rêve ?" :
"Vieux sage présent, toujours rassurant." qu’on pourrait dire.
Une journaliste blonde soit une figure de l’anima (puisque l’investigation de l’inconscient est son rôle) soit une saleté qui peut se faufiler un peu partout comme dans la série, jusque dans votre intimité la plus profonde.. A garder en tête pour les séries suivantes. Mais peut-être y a t’il a lien entre les deux ? Après tout si j’investigue chaque rêves, ne peut-il pas y avoir d’investigation des deux autres formations de l’inconscient (à savoir lapsus et actes manqués selon Freud). Exemple : si je fais un lapsus matrimonial cela suscite inévitablement de la jalousie chez ma copine (et peut-être est-ce bien ce que j’ai fait ces jours là à la relecture) et donc la pousse à investiguer : ce qui doit me pousser à investiguer aussi sur le pourquoi du comment si je me mettais à la place de Jung qui verrait en elle non pas la copine mais l’anima ?
Je trouve ces réflexions utiles, ne serait-ce que parce-que c’est un début pour relier les deux psychanalystes.
Le toboggan peut refaire penser au rêve d’Hop là c’est le vent avec sa tempête et le père, là il y a le vieux sage et ce n’est certainement pas lui. Si seulement..

Deuxième rêve :
Je suis dans une entreprise qui s’occupe de ramassage d’algues en bord de mer, dans ses hangars. Mais je ne suis pas sensé me trouver ici, je m’y suis infiltré. Il y a des containers rouges ci et là. J’essaie d’aller plus loin au travers de l’entreprise sans en être vu par ses employés. Une femme blonde habillée d’une combinaison noire laissant découvrir son dos passe un trou qui mène sur un couloir. Je veux la suivre par là alors je passe ma tête et je vois deux employés tourner sur ma gauche au bout du couloir. Je passe et je me fais prendre par un employé qui était à droite.
Changement de décor, je suis sur une colline en pleine nature et je viens de rejoindre une fille étudiante qui parle anglais. Elle a l’air d’être à travailler ses cours et je lui dis pouvoir l’aider. Je suis en érection lors de cette scène.
Le rêve se termine alors que je suis face au rayon jeux vidéos d’un magasin, on y vend des jeux de Dragon Quest, ma série de jeux préférée. Mieux, entre ces jeux je peux voir des cartouches de R4 faîtes pour nintendo DS (càd un moyen de jouer à des jeux piratés que l’on met à l’endroit de la cartouche dans la console). Je les regardent comme si ça valait de l’or. Puis mon regard s’arrête sur une cartouche de 15cm sur 5 faîte elle pour la Wii, dedans je sais pouvoir y mettre Dragon Quest Sword. Fin du rêve.

"Et que dit le rêve ?" :
Déjà, je donne la situation consciente : c’est un rêve fait après ce que je ne pouvais que prendre comme une atteinte quand à ma famille, ma mère et ma sœur en particulier alors que je n’accepte pas qu’on puisse leur reprocher quoique ce soit sans les connaître ou savoir leur situation après avoir fait telle ou telle chose quand bien même ces choses peuvent faire mal. Je ne peut juste pas accepter cela, encore moins lorsque ça parle ainsi de ma sœur et c’est un avis que je compte bien garder.
Je commence par le lieu de travail où une stratégie d’évitement est appliquée comme je l’y avait fait. Ce sera à régler puisque je n’en suis pas fier mais on est au bon endroit pour ça. Or ici je me fait prendre la main dans le sac dans mon désir de suivre cette femme en noir, aux vêtements du refoulé ?.

Possible car à la scène suivante la libido est forte, ce qui est positif, mais on ne voit pas le visage de l’objet qui la suscite on en sait néanmoins qu’il y a barrière des langues.
Puis il y a cette scène dans le magasin du rêve : la conclusion du rêve sur la ’grosse cartouche’ pourrait-on dire, la cartouche pour la wii, pour le ’oui’. Une cartouche piratée qui a lien à la quête des angoisses inconscientes.
Le rêve se conclue sur le désir de l’épée, symbole phallique et non simplement sexuel avec le désir pour cette épée.

08 11 16 :
C’est un rêve très long qui devait s’étaler sur trois heures environ, soit deux rêves au final en un seul au final.
Il commence alors que je reviens à une entreprise à laquelle j’avais travaillé cet été (une autre !) et j’y suis de retour pour les heures de repas. Je n’y travail pas dans le rêve en revanche les employés oui ; et je ne m’y infiltre pas. Contrairement à la réalité l’entreprise ne s’occupe pas ici d’épluchage de légumes mais se trouvent +ou- en bord de mer. En fait je me trouve téléporté sur des bateaux qui sont échoués dans un port abrité par un toit, il y a deux paquebots dans deux tunnels cloisonnés. Je vais sur l’un d’eux et propose mon aide qui sera refusée, j’atteints le deuxième par la nage dans la mer et je ne sais plus ce qu’il s’y passe.
Puis le décor change et je me retrouve dans ma ville natale (j’y étais peut-être déjà en fait) sur le parking qui fait face à la salle omnisports de la commune. En passant par la gauche du parking j’atteints la façade de cette salle et remarque sans y entrer que son intérieur correspond à celui d’un Leclerc auquel on accède par des escalators intérieurs, il y a des affiches qui font la publicité d’articles, je me demande alors si je peux y trouver une pharmacie et ne me rappel pas avoir vu quoi que ce soit qui y fasse référence. Je n’y suis donc pas entré.
La prochaine scène se déroule chez moi, dans ma maison où depuis son hall d’entrée je remarque que mes escaliers en bois portent un siège dont le dossier ferait dos à l’escalier en lui même, il est en bis lui aussi et est fait du même bois. Ce siège a l’air rétractable.
Je suis alors dans la prison d’un donjon et elle est éclairée par des torches, les murs sont de pierre, on est dans un sous-sol. J’entends une vois de femme chanter deux phrases (soit seize mesures) par dessus une harpe, malheureusement je ne me souviens ni de ses paroles [C’était bien sûr une musique d’amour où elle parlais à un monsieur, lui demandait quelque chose peut-être] ni de sa ligne mélodique mais je me souviens que c’était très très beau.
Bref, je veux mettre un terme à cet enfermement et sortir d’ici. Je suis enfermé avec d’autres personnes et les rapport avec eux tendent à rendre fou prisonniers comme on l’est. Je vois la porte de sortie, devant elle se trouvent des chips écrasées au sol (jaunes cette fois). J’en porte à ma bouche, les mâchent et les recrachent devant la porte toujours avant de sortir.
"Reviens !!" entend-je. C’est le gardien qui me parle ainsi, je re-rentre. Je me rends alors compte que la première fois que j’avais été enfermé dans ce donjon c’était pour avoir mangé des chips également. Peu importe, en re-rentrant je discerne mon sac gris eastpack avec des poignées pour les mains au sol sur la gauche et une table où est assis la personne qui m’avait dit de revenir.
Je prends mon sac par ses deux poignées noires et le rêve s’arrête là.

"Et que dit le rêve ?" :
Le rêve commence et je suis sur un lieu de travail où je propose mon aide, c’est positif. Il y a deux gros paquebots.
Puis je me demande si je peux trouver une pharmacie dans ma ville natale au niveau d’une grande surface qui est dans la réalité salle de sport : Je me demande si je peux trouver le lieu où la materia prima est transformée en lapis lorsque mon énergie est dépensée comme dans la ville natale, càd avec une autre personne que la copine (?).
Et la réponse serait non, c’est pas comme ça qu’on atteint la vie éternelle.
Puis vient mon moi, la maison où j’y découvre un nouvel élément à l’escalier : un siège, un moment pour s’arrêter et contempler les choses de haut, qui s’oppose à l’escalier finalement. C’est un symbole non étayé dans le dictionnaire, c’est dommage..
Mais en tout cas le dernier rêve qui s’y rapportait était ce dernier rêve de siège.

Puis, comme un Jung qui découvre sa maison allant de plus en plus vers ses [celles de la maison] profondeur cette scène ouvre sur une nouvelle : un donjon, une prison non cubique ici. C’est là que serait décrit le rapport au collectif ? :
Je n’y trouve pas vraiment sens sauf celui que j’aurais dévoré le centre de cette fleur mandala rose.
NB : A cette scène Ego (moi) passe par Alter (ce gardien de prison) pour pouvoir appréhender l’Objet:cette fille qui chante (qui chante ses besoins en amour ?) pour décrire le rapport au collectif. Or l’individuation se serait Ego n’ayant aucun besoin d’Alter pour accéder à l’Objet, non ?.

J’en prends mon sac, mon personnel, mon gris, peu positif.

EN CONCLUSION :


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