Je suis avec deux ou trois femmes

Je me retrouve dans un groupe, il n’y a pas d’homme.

L’animatrice à apparemment le béguin pour moi, je ne peux pas dire que j’y suis insensible. Le rêve est flou, à un moment elle nous fait traverser comme un lavoir mais sous l’eau (on n’a pied) il y a des bêtes tels des porcs (mais pas adulte) et des vaches, c’est un peu répugnant) pourtant je le traverse quand même. Nous nous jetons quelques regards mais rien de plus.

Puis elle retrouve une autre animatrice, qui elle, ne m’aime pas et essaye de me discréditer. Mais l’autre n’abonde pas dans son sens et reste sur ses positions. Et d’un seul coup, je me retrouve chez l’autre, c’est très étroit et carré, le toit est pointu, je lui demande, étant claustrophobe, de sortir, je commence à me sentir mal, mais elle ne me répond pas, et j’arrive à sortir je ne sais comment, et là je me réveille !

Bien, ça commence par cette affirmation : "il n’y a pas d’homme", comme ça c’est clair !

On parle d’intériorité, un groupe, pas d’hommes, tant pis pour le masculin il n’ pas ici sa place.

D’un autre côté, c’est peut-être pour mieux voir et décrire ce qui se passe de l’autre côté, de celui de la féminité.

Donc de cet autre côté, deux parties opposées :
– celle qui vous aime, et c’est plutôt réciproque, une partie purificatrice si l’on traduit ainsi ce passage dans le lavoir,
– celle qui ne vous aime pas.

Or c’est chez cette dernière que vous vous retrouvez, c’est bien cela ? C’est étroit, pointu, carré, sensation d’enfermement. Comme si cette partie avait pris l’ascendant sur l’autre finalement, et que vous étiez enfermée dans cette partie.

Ceux parties féminines et vous êtes coincée chez celle qui ne vous aime pas alors que l’autre a plutôt le béguin pour vous... Or les deux sont animatrices. Les deux pourraient choisir. Vous pourriez choisir. De vous aimer.