Avancer dans la vie

Ce ne sont que des parties de rêve de cette nuit car j’ai eu trop d’images pour m’en souvenir...

Je me souviens que ma sœur et moi grimpions une pente, elle était devant moi et je suivais derrière. Y’a un homme de peau noir
(partie sauvage de soi) qui portait un carton, nous a arrêté pour nous dire de venir "déballer les cartons" avec eux.

Nous avons continué à grimper la pente puisque pour moi, ce n’était pas vraiment les cartons qui l’intéressait mais plutôt nous...
(Oui, je sais croire que les hommes ne sont que des êtres vicieux n’est pas une bonne façon de penser).

A un moment j’ai commencé à me sentir pas bien, la tête qui tourne, plus la force de monter cette pente. J’ai eu comme un malaise.
J’ai dit à ma sœur de s’arrêter, que ça n’allait pas.
Elle m’a retenu avant que je ne tombe.

Ensuite je me trouve sur une route complètement désertique le sable sur les côtés...
Il y a seulement des vélos sur le côté de cette route.
Ca tombe bien mon vélo avec lequel j’avançais sur cette route était devenu trop petit, plus adapté à ma taille.
Alors j’ai décidé d’essayer ces vélos en bord de route.
Certains étaient assez grands, j’ai essayé un vélo violet qui avait un siège confortable (un grand carré noir en mousse) il semblait me convenir.


"Oui, je sais croire que les hommes ne sont que des êtres vicieux n’est pas une bonne façon de penser" : je ne sais pas s’il s’agit d’une bonne ou d’une mauvaise façon de penser, ce que je sais c’est que c’est votre façon inconsciente de percevoir les hommes ; mais je sais également que les hommes ont encore aujourd’hui un regard sur les femmes qui est marqué par des siècles de domination, et que cette seconde réalité, elle, ne changera pas rapidement.

Oui, l’homme noir aurait pu symboliser votre animus, que l’on retrouve cette fois clairement dans votre rêve suivant. Vous n’avez pas souhaité rentre en contact avec lui. Qu’importe, il s’est représenté la nuit suivante...

"Avancer dans la vie", c’est votre titre, et cela correspond bien à cette pente épuisante. Aussi, pouvoir changer de vélo au fur et à mesure de son ascension, de ses possibilité de développement (passer d’un petit à un plus grand développement, en changeant de braquet, ou de vélo plus simplement) est une chance.

Maintenant, des éléments du rêve reste obscur : ce malaise, suite au refus d’aider l’homme noir à déballer les cartons, et j’entends : déballer les souvenirs. S’évanouir plutôt que de savoir ouïr ?

Et puis ce désert, ce sable, cette sécheresse. C’est à cet endroit que vous changez de moyen d’avancer, "plus adapté à ma taille".

Faire un malaise en pleine montée d’une pente.
Des vélos au bord d’une route désertique.

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