Il n’y a pas de question inopportune dès lors que l’on parle de rêves, ils sont là au contraire pour susciter toutes ces questions.
Le premier cri, la remarque est liée à cette impossibilité de crier dans le rêve, que l’on peut comprendre comme une répétition du premier cri qui n’a pas pu être poussé naturellement. La répétition de l’inconscient, c’est un procédé mystérieux, et c’est pourquoi la phrase (et l’idée associée) me semble incroyable (mystérieuse, montrant les limites de la conscience).
Oui, dans le rêve, vous vous agitez, dans tous les sens, vous tentez d’agir en permanence mais le cadre, tout votre environnement est truqué, si bien qu’en réalité vous le subissez. C’est en cela qu’il y a passivité, dans l’impossibilité de l’action.
La passivité est imposée de l’extérieur effectivement, d’où l’hypothèse que vous recherchez des situations dans lesquelles vous allez être réduite à l’impossibilité d’action (malgré des efforts conscients pour agir, mais sans effets réels, d’où l’impression continuelle de subir les événements, de façon passive).
Il n’y a pas de question inopportune dès lors que l’on parle de rêves, ils sont là au contraire pour susciter toutes ces questions.
Le premier cri, la remarque est liée à cette impossibilité de crier dans le rêve, que l’on peut comprendre comme une répétition du premier cri qui n’a pas pu être poussé naturellement. La répétition de l’inconscient, c’est un procédé mystérieux, et c’est pourquoi la phrase (et l’idée associée) me semble incroyable (mystérieuse, montrant les limites de la conscience).
Oui, dans le rêve, vous vous agitez, dans tous les sens, vous tentez d’agir en permanence mais le cadre, tout votre environnement est truqué, si bien qu’en réalité vous le subissez. C’est en cela qu’il y a passivité, dans l’impossibilité de l’action.
La passivité est imposée de l’extérieur effectivement, d’où l’hypothèse que vous recherchez des situations dans lesquelles vous allez être réduite à l’impossibilité d’action (malgré des efforts conscients pour agir, mais sans effets réels, d’où l’impression continuelle de subir les événements, de façon passive).